Carte d'Identité du Congo
- Superficie : 342 000 km2
- Capitale : Brazzaville
- Population : 3, 56 millions d'habitants
- PIB/habiant en 2007 1051433 francs cfa soit un peu plus de 1500€/habitant
- Taux de croissance du PiB par en 2007 0,8%
- Taux de croissance prévue en 2008 8,9%
Risque Pays Indice Coface
Risque environement des affaires Note D. sur un indice qui va de A à D
Risque pays C, pour un indice qui va de A à D
La situation économique, Politique et Sociale
Une économie dépendante du pétrole
L'activité a affiché un net rebond en 2008, soutenu par la reprise de la production pétrolière. Hors pétrole, la croissance a été portée par les télécommunications, la construction et les transports. En 2009, la hausse de la production d'hydrocarbures compensera le repli des cours, tandis que le secteur agricole et les services financiers profiteront d'une stabilisation de la situation sécuritaire. L'accélération de l'inflation, nourrie par la hausse des prix des denrées alimentaires et du carburant, a été contenue grâce à une politique de subventions aux prix. En 2009, le recul des cours ne pourra compenser les pressions inflationnistes, favorisées par la hausse des dépenses publiques, alors que s'ouvre une période préélectorale.
Un niveau d'endettement insoutenable
En 2009, comme en 2008, la hausse de la production d'hydrocarbures, mais aussi la sous-exécution des dépenses devraient assurer un excédent budgétaire confortable. La balance courante reste cependant très vulnérable à un retournement des cours ou à un choc de production. Elle est par ailleurs grevée par la hausse des importations de biens d'équipement nécessaires à la mise en œuvre des projets d'infrastructures. Le rééchelonnement de la dette publique et privée contractée respectivement auprès du Club de Paris et de Londres a permis d'améliorer la position extérieure du pays. Le niveau d'endettement extérieur reste toutefois insoutenable. Le Congo, qui a signé en décembre 2008 une Facilité pour la réduction de la pauvreté et pour la croissance avec le FMI, pourrait cependant bénéficier à terme d'une annulation complète de la dette.
Le Parti congolais du travail devrait rester au pouvoir en 2009
La coalition menée par Denis Sassou-Nguesso a vu sa prééminence renforcée, suite aux élections municipales de juin 2008. L'opposition, désorganisée et divisée, ne semble pas constituer une menace pour les prochaines élections présidentielles de 2009. Pour autant, des poches d'insécurité persistent dans le sud du pays (région du Pool), en dépit de l'accord de paix signé en 2003 entre le gouvernement et les forces rebelles. En outre, la situation sociale reste préoccupante, avec plus de 50 % de la population vivant sous le seuil de pauvreté. Dans ce contexte, le pays devrait continuer à se caractériser par une gouvernance problématique.
Source Coface
Opportunités
Actuellement TOUS les secteurs ou presque sont propices à l'investissement. Tout est quasiment à (re)développer au Congo. Il suffit de s'y rendre pour s'en rendre compte. Notamment dans la capitale, mais aussi dans les régions, en fonction du type d'activité.
L'État qui jusque là était très présent dans la majorité des secteurs économiques, a aujourd'hui compris que le (re)décollage du pays passait par une dynamisation accrue du secteur privé, et a décidé de se désengager de la gestion des activités de production, pour concentrer les finances et les efforts publiques dans la mise en place efficace des infrastructures de base, notamment dans les secteurs importants tels que les télécommunications, l'eau, l'électricité, le bois et les hydrocarbures.
Ainsi, pour tous les secteurs, la règle est simple : l'État encourage l'installation des opérateurs privés, généralement à travers un cadre incitatif et avantageux pour les entreprises, principalement en matière de fiscalité et de garantie des investissements engagés.
C'est pourquoi, dans cette nouvelle donne, on peut affirmer sans réserve : qu'il y a aujourd'hui véritablement de la place pour TOUS, au Congo : pour les grands, comme (et surtout) pour les petits (PME, PMI, Artisans, Consultants, Indépendants, Commerçants...). Actuellement, les principaux domaines qui ont le vent en poupe concernent notamment :
Les SERVICES : multiples idées et opportunités à développer, aussi bien dans le cadre de la vie courante que de la vie des entreprises (services de livraison, pressing, restauration rapide, gardiennage, nettoyage industriel, transport spécialisé, prestation de services en informatique, Internet (Cybercafés, réalisation de sites Web, formation...), etc....)
Les ACTIVITÉS DE CONSEILS spécialisés, notamment dans les secteurs de pointe, nécessitant une réelle expertise (Télécommunication, Communication, Informatique, Conseil juridique, Recrutement, Publicité et Communication...).
L'AGRICULTURE : marché à développer (appui particulier de l'État)
L'ALIMENTAIRE : forte demande
Les TRAVAUX PUBLICS : marché à très fortes potentialités dans la présente conjoncture (entreprises de BTP, prestataires de Services...) ;
L'IMMOBILIER : courtage et promotion immobiliers (marché prometteur mais non exploité) ;
Le TOURISME (agences de voyage, organisation d'excursion, transports, location de voiture,...) : marché à développer (très fortes potentialités)
Les TÉLÉCOMMUNICATIONS (boutiques de téléphonie mobile, fournisseurs d'accès Internet,...) : marché en plein essor...
Pour plus d'infs voir le site ci-dessous
http://www.congo-siteportail.info
Comment y investir ?
- Les types de sociétés commerciales
- Sociétés de personnes
- Sociétés de capitaux
- Montant minimum à investir
- Nombre minimum d’associés
- Où faire rédiger ou viser les statuts ? Où se faire immatriculer Processus d’immatriculation Montant minimum à payer pour les formalités de création
Demandes d'infos
Pour plus d'informations veuillez remplir le formulaire ci-dessous