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Richesse des cultures et contre culture des Riches.
C'est une oeuvre de Mr Alain Doluim.
Connu d'abord comme chef d'entreprise, ensuite comme homme politique, aujourd'hui Mr Dolium nous présente, à travers ce livre " Richesse des cultures et contre culture des Richess", un de ses nombreux talents.
C'est un livre à lire absolument, vous décideurs, vous hommes politiques, vous jeunes ayant perdu beaucoup l'envie de vous battre, vous qui avez souvent une vision réductrice de notre jeunesse de France et notamment celle des banlieues où fourmillent talents et dynamisme.
Vous en tirerez des leçons de vie. C'est un livre autobiographique mais nous permet chacun de nous de se reconnaitre à travers ce recit poignant et revelateur de nos talents, mais aussi des difficultés pour notre cher pays d'accompagner tous ses fils et filles vers l'excellence.
Bonne lecture.
Michel Okemba-Ongouya
Pour Ethique et affaire Conseils.
UN PAYS N'A QUE DES DIRIGEANTS QU'IL MERITE. DONNEZ A LA FRANCE DES DIRIGEANTS A LA HAUTEUR DE SON RANG
Un pays, un peuple, une Nation.... a des dirigeants qu'il mérite disait un sage. Sauf quand on les lui impose comme dans certains pays à régimes dictatoriaux.
Demandez à certains pays ou peuples d'Afrique Noire ils vous le diront. En France, nous avons une chance extraordinaire de choisir librement et directement nos dirigeants (le Président, le gouvernement et le parlement), à l'occasion des élections libres et démocratiques.
C'est à l'occasion de ces élections que l'on sanctionne ceux (dirigeants) qui n'ont pas été à la hauteur de la confiance que le peuple leur a témoignée ou de choisir les nouveaux.
En France depuis 1993 on semble assister à la répétition d'un même scénario.
Premier épisode.
La droite française gagne les élections en 1993. C'est la deuxième cohabitation entre Le Président Mitterrand et un homme de droite. Edouard Balladur, Premier Ministre d'alors, baisse les charges sociales massivement au profit des patrons.
Il met, les jeunes dans la rue avec une réforme sur le conditions d'embauche, avec un CPE (contrat premier embauche : CDI au rabais). Les conditions sociales des jeunes ne changent pas fondamentalement. Les patrons empochent au passage ce pécule, sans véritablement créer des emplois pour lesquels l'argent du contribuable leur avait été cédé gracieusement.
Deuxième épisode.
En 1995, Chirac avec son discours sur le fracture sociale, qui a réussi à voler l'élection tant promise à Edouard, voir à Jospin, quelques mois à peine, après son arrivée à l'Elysée, met le peuple (des barrages de routes partout en France, pendant près de trois semaines) dans la rue, avec sa réforme sur les retraites. Jupé Alain renonce. Aux étrangers on sert le discours sur les odeurs de leur repas. On commence à diviser le peuple français et les étrangers qui n’aspirent qu’à la paix et à la tranquillité dans leur famille.
Intermède.
Les élections anticipées de 1997, chassent, par surprise, la droite du pouvoir. Jospin et le gauche sont au pouvoir.
De 1997 à 2002, le pays connaît une croissance économique réelle. Monsieur Christian Sauter Ministre des finances de l'époque parlera même de cagnotte (des entrées massives d'argent au trésor public français). C'est vrai que le gouvernement d'alors bénéficiera de la conjoncture économique internationale très favorable avec des forts taux de croissance pendant la mandature.
On regrette que cet argent excédentaire, n’ait pas pu servir déjà à rembourser la dette et les intérêts du pays qui continuent d'augmenter.
Troisième épisode.
En 2002, avec l'élection surprise de Chirac que l'on voit battu (sondages) largement par Jospin, (les socialistes et la gauche de Mélenchon ne doivent pas oublier cette période difficile pour eux), la droite recommence avec ses errements passés.
Elle, quelques mois à peine arrivée au pouvoir, valorise les salaires des Ministres, à environ 30%. Nous nous rappelons de ce que Coppé JF, alors Ministre délégué au Budget disait à l'époque. Quand on fait la politique et que l'on sert son pays, avec tous les sacrifices que cela suppose, on a le droit d'avoir la reconnaissance du pays. Renchérit-il, les Ministres allemands sont bien mieux payés que ceux de la France. Et le peuple dans tous cela ?
A cette époque déjà on parle des scandales des patrons qui gagent 150 à 1000 fois le Smic (Patron de Peugeot à l'époque, de Alsthom...). Cette augmentation des salaires avait même provoqué l'indignation d’une partie de l’opinion dans le pays. Mais le gouvernement n'a de cure pour un peuple qui grogne dans les rues de France.
Ce n'est pas la rue qui gouverne, avait lancé Monsieur Raffarin, un des Premiers Ministres de Chirac II.
La même année, on réutilise les mêmes recettes : alléger les charges des patrons pour permettre l'embauche des jeunes, des chômeurs de longue durée, des seniors.... Mais une nouvelle fois, les gros patrons empochent le pécule et laissent le chômage croître.
Le Ministre de l'intérieur de l'époque, déjà en route pour la magistrature suprême droitise déjà son discours contre les étrangers. Ici, il durcit la législation contre les étrangers, Aux français, fils d'immigrés; il parle du Karcher, des racailles. A des vieilles recettes déjà pratiquées par son Mentor Mr Pasqua Charles, Ministre de l'intérieur de 1993 à 1995, ce nouveau Ministre ajoute de nouvelles, qui sont puisées directement dans le fond électoral du Front National. On libère la parole, on casse la digue entre le droite et l'extrême droite pour reprendre une des phrases célèbres de de Mr Mélenchon.
Les pauvres étrangers, sont pris pour cible, ce sont véritablement des bouc émissaires, alors que le pays doit trouver de nouvelles armes économiques pour lutter énergiquement contre la mondialisation, ou plus exactement, contre la baisse de la compétitivité de ses produits, de ses entreprises... , former les meilleurs ingénieurs et les garder au pays, pour qu'ils innovent et créer de la valeur dans cette économie de transition (économie de l'industrie, vers celle des services et de l'intelligence...).
Les mêmes recettes produisent les même effets. Le chômage continue d'augmenter, le pays ne crée plus des richesses (le PIB n'augmentant que petitement entre 1 et 2%, alors que le monde : Chine, Inde, Brésil, Russie, sud Afrique les fameux Brics et les autres, ont des taux de croissance moyens qui tournent autour de 6 à 10%.
La France s'endette de plus en plus sur le marché international des capitaux. Les agences de notation prennent du galon.
Quatrième épisode
L'élection en 2007, du président actuel, donne beaucoup d'espoir, en tous cas à ceux qui ont cru en lui.
Ne Prônait-il pas la rupture totale avec ses prédécesseurs (droite et gauche confondues) ?
Ne voulait-il pas aller chercher cette fameuse croissance avec ses dents ?
Ne fallait-il pas travailler plus, pour gagner plus ?
Ne s'était-il pas auto proclamé président du pouvoir d'achat ?
Bref que des promesses, que des certitudes. Quelle tromperie, quelle duperie ?
N'a-il pas eu le temps de réaliser ce qu'il a promis ?
Qu’est ce qu’il n’a pas fait hier et qu’il fera demain ?
Quel bilan ?
Les mêmes recettes produisent les mêmes effets, les riches sont gracieusement gratifiés avec, l’exonération des impôts sur les heures supplémentaires, les restaurants se voient leur TVA baisser (passant de 19,6 à 5, 5%) sans qu’il y a des créations d’emplois ou des hausses de salaires dans la profession…
A l'arrivée, à l'heure des bilans, il y a tout, sauf la rupture tant promise.
Ceux de mes amis, ceux avec lesquels nous avons eu des discussions chaudes, vives, parfois violentes, c'est la démocratie, déchantent aujourd'hui. Certains qui étaient même au Parti communiste, sont allés le rejoindre. Quel grand écart ! Aujourd'hui ils déchantent amèrement. Nous avons même failli ceder à la tentation avec son discours égalitaire sur la discrimination positive. Chose que la gauche n'a jamais oser, au moins penser et proposer en tant qu'opposant.
C'est vrai qu’il sait parler, il sait arranger les foules, ce candidat hors pair.
C’est vrai qu’être un excellent orateur, un tribun n’est pas forcement être un bon dirigeant et un bon père de famille.
L’heure du choix est arrivée. Cette heure nous fait penser à celle de 2000 en USA où le peuple américain, ou tout au moins une majorité, comme le monde attendait l’élection d’Algor.
Ce candidat démocrate américain battu bizarrement par Georges Bush Junior.
On se souvient de ce suspense insoutenable dans le comptage des voix où il a fallu attendre plus d’un mois pour que la victoire de Bush soit connue, pas forcement reconnue, tant il y avait eu des fraudes massives dans un des Etats du sud des USA.
Pour les croyants à la parole divine, on peut penser que durant ce mois de suspense, se livrait une bataille farouche entre Dieu et le Diable. Et que le Diable l’aurait emporté.
La suite c’est une succession de drames, de souffrances et de chaos pour le peuple américain et le monde entier par ricochet.
Le 11 septembre 2001 est passé par là, les deux guerres (Irak 2003 et Afghanistan 2001) sont aujourd’hui des boulets que Georges Bush et son idéologie très conservatrice et nationaliste ont laissé à l’Amérique et au monde, l’ont opposé au reste du monde et l’ont abîmé.
Au plan économique, le pays est ruiné. L’élection d’Obama, et ses talents n’ont pas suffi pour réparer les dégâts immenses et immondes causés par un dirigeant incompétent, immature, irresponsable et belliqueux.
C’est vrai que la France ce n’est pas les USA. Et son Président actuel n’est pas Bush, même si ce fut un peu son modèle.
Citoyens de France !
Ce pays, bien que petit par ses territoires, grand par son histoire et géant pas sa création a, aujourd’hui à nouveau un rendez vous avec son histoire.
L’élection qui arrive est encore plus importante que celle de 2007 pour ses enjeux, pour la place de la France dans le monde, son rayonnement, son classement, voir sa survie dans une mondialisation qu’elle ne doit pas refuser mais au contraire affronter.
Ne vous laissez pas intimider par des journalistes qui n’ont de journalistes que leur titres. Ce sont des propagandistes, des idéologues, des coureurs de jupons, des lèches culs (permettez moi le terme s’il vous plait).
Tous embauchés par les organes de presse tenus par le pouvoir et l’argent et qui ont tous, sauf l’éthique de leur métier. Ils n’ont aucun respect de leur carte de journalisme.
Ils pensent que le journalisme c’est un show. Il y’ a même une émission de télévision, d’une chaîne d’information continue, que nous ne citerons pas, pour ne pas faire de publicité gracieusement et qui s’appelle politiquement show.
Un Mr qui se passait pour un journaliste et qui participait à cette émission, est aujourd’hui la tête pensante, l’éminence grise du grand chef au palais de l’Elysée. C’est lui qui nourrit aujourd’hui la dérive droitière de son Manitout de chef.
Il s’appelle Patrick Buisson. Ce personnage misérable est vraiment le prototype même d’une profession en déroute dans une démocratie décadente, même si elle n’est pas celle de Poutine.
Mais derrière ce qu’ils appellent le show, ce sont des souffrances, des drames, des familles qui survivent et dont beaucoup attendent qu’on leur apporte un éclairage intelligent et neutre avant qu’elles ne fassent leur propre choix, leur propre opinion. C’est la démocratie. Elles n’ont pas à être manipulées, avec des sondages fabriqués au profit des maîtres et de chefs pour lesquels ils doivent tant (leur carrière par exemple).
Vous, familles, Vous citoyens !
Vous avez entre vos mains une arme fatale, la seule dont vous disposez. Maniez là avec discernement, avec intelligence, voir même, avec vengeance.
On vous a trop dupé, couillonné depuis 1993, 1995, 2002 et 2007.
La balle est dans votre camp comme disent les footballeurs.
L’heure de la belle et de la revanche a sonné.
Ne vous trompez pas cette fois-ci.
Sinon vous serez des naïfs, voire des cons, à moins que vous aimez souffrir et êtes des masos ?
Si c’est le cas, ne venez pas pleurer devant moi.
Parce que cette fois il y aura plus de casse, beaucoup plus de casse qu’avant. Parce que cette fois-ci il n’y aura pas un autre mandat pour le même prétendant. Il s’en foutrait de ce que deviendrait la France en 2017.
Parce que l’endettement que ce pouvoir et ses grands frères ont provoqué, sera un prétexte, plus ou moins justifié pour cogner encore plus fort sur le peuple, sans lui laisser, aucun espoir.
Et le pays se trouvera meurtri par la souffrance et la pauvreté, un peu comme l’Amérique et les américains après BUSH.
Je vous cracherai au visage, parce qu’on vous aurait prévenu.
Je vous cracherai au visage parce que vous méritez votre sort.
Je vous cacherai au visage parce que je n’aime pas les cons, les pleurnichards qui ne prennent pas les bonnes décisions.
Je vous cracherai au visage, parce ma rage sera immense et elle sera à la hauteur de ma déception sur vos choix, en particulier aux supporters de Mélenchon Jean Luc qui auront joué aux apprentis sorciers.
Ici, je jetterai volontiers mes grands principes au placard : ceux du respect des personnes, mon amour pour mon prochain, de sa liberté de pensée et d’opinion, de son libre choix, parce qu’il ne se serait pas respecté lui-même, pour avoir fait le mauvais choix.
A bon entendeur salut
UN CITOYEN QUI AIME LA REPUBLIQUE.